Artic Sea
L'Arctic Sea vous assure un apport en acides gras essentiels grâce à une combinaison d'Oméga 3 et 9. Les Oméga 3 sont des acides gras essentiels présents dans les poissons des mers froides. Les Oméga 9 sont eux d'origine végétale (huile d'olive).
- "Les Graisses ou lipides, au même titre que les protides, les glucides, les sels minéraux et les vitamines doivent entrer dans un régime alimentaire normal pour assurer la croissance et la santé des individus. Or, l'alimentation moderne est terriblement excessive en acides gras saturés, et drôlement carencée en acides gras polyinsaturés.
Au quotidien, nous consommons trop de corps gras sous forme de graisses saturées d'origine animale qui sont souvent catastrophiques sur le plan santé car à l'origine des maladies cardio-vasculaires et des surcharges pondérales.
Cependant, en dehors du fait qu'il faudrait diminuer quantitativement cette ration de lipides (beurre, charcuterie, viandes grasses, biscuits industriels, etc.) dans l'alimentation au point de ne jamais dépasser le tiers de la ration lipidique totale, il faut également utiliser dans la quantité permise les corps gras qui, qualitativement, sont les meilleurs pour la santé. Sur ce plan, ce sont les acides mono et polyinsaturés qu'il faut privilégier.
Les acides gras mono-insaturés, que l'on retrouve dans les huiles végétales, et tout particulièrement dans l'huile d'olive, sont, quant à eux, beaucoup plus bénéfiques, dans la mesure où, possédant une liaison intermoléculaire, ils participent à certains échanges métaboliques, et peuvent, comme c'est le cas par exemple pour l'acide oléique de l'huile d'olive, protéger le système cardio-vasculaire.
Les acides gras polyinsaturés, contenus dans les huiles végétales de tournesol, colza, maïs, soja, carthame, lin ou olive, mais surtout dans les huiles de poissons des mers froides, disposent de plusieurs liaisons, et participent donc au plus grand nombre de réactions métaboliques.
Ces acides gras polyinsaturés donnent notamment naissance aux prostaglandines, substances qui régulent la dilatation et la construction des vaisseaux sanguins, assurent ainsi la fluidité du sang et permettent le transport du cholestérol. Chaque année de nouvelles études viennent corroborer la valeur préventive et thérapeutique des huiles de poissons dans le domaine des maladies cardio-vasculaires aussi bien pour réduire le taux de triglycérides que l'hypertension. On sait aujourd'hui que la consommation régulière d'huiles de poissons gras diminue de 40% le risque de décès par maladie coronarienne ou par infarctus du myocarde. Ces graisses de poissons des mers froides appartiennent à une grande famille de corps gras, que l'on nommait jusqu'à une date récente Oméga 3, et que les biochimistes appellent à présent n-3."
Au seul plan diététique, on estime aujourd'hui que 30 à 100g de poissons gras (thon, maquereau, sardine, saumon, hareng, la chair de baleine) par jour suffisent à diminuer globalement par deux les risques de maladies cardio-vasculaires par une diminution du taux de triglycérides (réduction de l'acide linoléique, augmentation de l'acide écosapentaénoique EPA et de l'acide docosahexaénoïque DHA du plasma).
Le modèle Inuit
Des observateurs scientifiques avaient remarqué que les peuples qui vivaient dans les régions côtières les plus froides du monde, notamment les Inuits du Groenland, étaient étrangement protégés contre certaines maladies cardio-vasculaires. Le mot infarctus, par exemple, n'avait aucun équivalent dans leur langage. Il fallut quelques années pour comprendre que cette protection venait de la consommation régulière de poissons dont la chair contenait des huiles riches en certains acides gras essentiels, les fameux Oméga 3. A contrario, avec « l'occidentalisation » de sa nourriture, l'Inuit moderne a vu son régime et aussi son vocabulaire s'enrichir, les « pontages » et autres « cholestérols » lui étant maintenant familiers.
Les Oméga 3 ou n-3 contribuent à la souplesse des membranes de nos cellules et à une bonne fluidité des échanges entre ces cellules et leur milieu et justifient le bien-fondé de leur utilisation dans de nombreux domaines médicaux.
En voici quelques exemples :
- (troubles du comportement, une mauvaise vision et une intelligence au-dessous de la moyenne, troubles du sommeil, anxiété et dépression nerveuse).
- . Ceux-ci favorisent la protection du cœur, des vaisseaux et du cerveau et participent à l'équilibre des graisses du sang. Ils sont indispensables pour la construction du cerveau du fœtus et du jeune enfant. Il pourra être judicieux d'en apporter en complémentation alimentaire, surtout chez la femme enceinte ou allaitant et chez les seniors.
- . Elle est également utilisée en cardiologie à titre préventif chez les individus à risque coronarien élevé.
Elle donne aussi des résultats intéressants en rhumatologie, notamment en traitement de fond de la polyarthrite rhumatoïde et sur la prévention de l'arthrose.
Chez l'animal, on a démontré expérimentalement un certain rôle protecteur des huiles de poisson dans des cancers du sein et du côlon.
Chez les patients atteints de sclérose en plaques, certaines études tendraient à démontrer une amélioration des symptômes chez des patients soumis à un régime riche en huiles de poisson.
En vieillissant, l'organisme synthétise en quantité moindre les Oméga 3. La personne âgée doit donc en absorber plus. Si les besoins ne sont pas couverts, différentes dégradations se produisent Les plus manifestes sont visibles au niveau de la peau qui, carencée, se déshydrate. Des rides apparaissent, parfois accompagnées de trouble de la kératinisation comme le psoriasis. Les méfaits au niveau du cerveau sont invisibles mais bien plus redoutables, avec l'apparition progressive d'involution cérébrale. Selon certaines études, après quelques mois de supplémentassions en huile de poisson, on observe une amélioration sensible des facultés cognitives et mémorielles. On étudie les possibilités d'application aux cas de maladie d'Alzheimer.
Les huiles de poissons ont également un effet anti-hypertensif. Certaines études font apparaître une baisse de la tension artérielle systolique de l'ordre de 6%.
Conseil d'utilisation
Les quantités recommandées d'Arctic Sea sont de 1 à 2 gélules par repas, soit 3 à 6 par jour selon le but recherché. Pour plus d'efficacité, le coupler à un buvable ou au Berry Nectar (réf 34) qui servira de base.
Le goût particulier des huiles de poissons n'entraîne aucune gêne puisque que la gélule d'Arctic Sea se dissout une fois arrivée dans l'estomac.
Arctic Sea est un produit d'exception qui devrait systématiquement entrer dans le régime de toutes les personnes à risques et de toutes celles qui sont soucieuses de leur santé. Allié à un régime pauvre en graisses animales, en sucres rapides et en alcools, ce complément alimentaire sera particulièrement recommandé aux obèses, aux diabétiques non insulinodépendants et aux alcooliques.
Précautions d'emploi - Bienfaits
Artic-sea se compose d'acides gras insaturés Oméga-3 et Oméga-9. Les Oméga-3 sont présents dans les poissons d'eau froide tandis que les Oméga-9 sont d'origine végétale (huile d'olive). Une alimentation riche en Oméga-3 dans le cadre d'une vie saine, aide à maintenir la santé cardiaque et des artères en bonnes santé ce qui facilite la circulation sanguine. A dose plus élévée, elle contribue à maintenir des articulations mobiles et flexibles.
Composition
- 750mg d'huile de poissons des mers froides (dont 225mg de EPA et 150mg de DHA)
- 250mg d'huile d'Olive
- Vitamine E
Contenu
60 gélules